Structure thématique pour l’histoire de la voirie urbaine à Douala
Routes coloniales : objectifs militaires, économiques (port, plantations)
Tracés initiaux : axe Bonanjo–Akwa, pénétrantes vers les quartiers populaires
Matériaux utilisés : latérite, pavés, bitume importé
Premiers acteurs : administration coloniale, entreprises françaises
Urbanisation accélérée et pression démographique
Plans directeurs successifs (années 70, 80, 2000)
Création de la Communauté Urbaine de Douala (CUD) et ses compétences
Routes emblématiques : Boulevard de la République, axe Deïdo–Bépanda, pénétrantes vers PK
🏗️ PDVIR (Projet de Développement des Villes Inclusives et Résilientes)
🚌 Projet BRT (Bus Rapid Transit) : 4 lignes, 27 km, 80 km de voies de rabattement
🌍 PVGFD (Projet Villes et Gestion Foncière Durables) : 26 km de nouvelles routes, 40 km d’entretien, 10 km de drains
Rocades stratégiques : Bonamoussadi–PK10, Boulevard Urbain Est
Acteurs : CUD, entreprises privées, régies municipales
Organisation : directions techniques, délégations d’arrondissement
Méthodes : revêtement en pavé (résistance aux intempéries)
Financements : fonds propres, État, Banque mondiale (ex. 98 milliards FCFA pour 125 km de routes critiques)
Dégradation rapide : nids-de-poule, inondations, congestion
Intempéries et vulnérabilité climatique
Défaillance des opérateurs (ex. Hysacam pour les déchets)
Urbanisation anarchique et empiétement sur les emprises routières
Sensibilisation communautaire (ex. kiosques BRT, ONG Ridev)
Conflits liés aux indemnisations, expropriations
Perception des usagers : attentes, frustrations, résilience
Numérisation des archives foncières, plans digitalisés
Intégration des données géospatiales pour la planification
Mobilité durable, accessibilité, équité territoriale
Gouvernance foncière et transparence
En intégrant les réponses successives de la ville aux problèmes de voirie, tu ajoutes une dimension dynamique et critique à ton travail : celle de l’adaptation institutionnelle face à la dégradation, aux intempéries et à la pression urbaine. Voici une synthèse structurée en trois volets — projets, organisation, techniques — avec des exemples concrets et des jalons historiques :
Période | Projet | Objectif | Réalisations clés |
---|---|---|---|
2020–2024 | Réhabilitation ciblée (100 km) | Restaurer les axes structurants | Bonassama, Japoma, Parcours Vita |
2022–2025 | Plan d’urgence voirie (125 km) | Traiter les points critiques | 70% réalisés, 98 milliards FCFA mobilisés |
2023–2025 | PDVIR (Banque mondiale) | Mobilité inclusive et résiliente | 20 km financés, revêtement pavé priorisé |
2025 | Budget spécial voirie (72 milliards FCFA) | Entretien et assainissement | Appui aux mairies d’arrondissement, pré-collecte des déchets |
🔹 Note : Ces projets traduisent une montée en puissance budgétaire et une volonté de territorialiser les interventions.
Création de la régie autonome 2RC (Routes et Constructions) : pour internaliser l’entretien et garantir la réactivité
Décentralisation vers les mairies d’arrondissement : appui de 200 millions FCFA pour la pré-collecte et l’entretien local
Sélection de nouveaux opérateurs : suite à la défaillance d’Hysacam (seulement 40% de sa flotte mobilisée), la CUD a engagé un nouveau prestataire pour la collecte des 2 700 tonnes de déchets/jour
Appels d’offres et travaux en régie : distinction selon la surface (régie < 200 m²), pour plus de souplesse et de contrôle
🔹 Note : On observe une volonté de professionnaliser, diversifier et territorialiser la gestion de la voirie.
Priorisation du revêtement en pavé : choisi pour sa durabilité face aux chocs climatiques et mécaniques
Traitement des points critiques : carrefours, ronds-points, zones inondables
Cartographie des zones dégradées : 225 km identifiés, 125 km priorisés
Réhabilitation par tronçons stratégiques : pénétrantes Est/Ouest, zones industrielles, axes vers le port
🔹 Note : Le choix technique du pavé marque une rupture avec l’asphalte, jugé moins résistant dans le contexte local.
PLAN DE TRAVAIL DÉTAILLÉ
Histoire et évolution des infrastructures routières et des ponts de la ville de Douala
I. OBJECTIFS ET MÉTHODOLOGIE
1️⃣ Objectifs du travail
Reconstituer, période par période, la genèse et l’évolution du réseau routier de Douala.
Identifier les grands chantiers routiers et les ponts majeurs de la ville.
Comprendre les logiques politiques, économiques et urbaines ayant guidé ces aménagements.
Analyser les causes de la dégradation rapide des routes et les réponses institutionnelles.
Mettre en lumière les enjeux actuels de gouvernance et d’entretien du patrimoine routier.
2️⃣ Sources à exploiter
Archives :
Archives nationales du Cameroun
Archives de la Communauté urbaine de Douala
Archives du MINTP (Direction des routes)
Archives coloniales (cartes, plans FIDES, correspondances administratives)
Documentation contemporaine : rapports de projets AFD, BEI, PAD, Communauté urbaine.
Presse et publications : Cameroon Tribune, Mutations, Rapports municipaux, etc.
Témoignages : anciens ingénieurs, techniciens des travaux publics, anciens élus locaux.
Photographies et cartes anciennes.
3️⃣ Méthodologie de travail
Approche chronologique (par grandes périodes).
Approche thématique (types d’infrastructures, acteurs, problèmes techniques, gouvernance).
Collecte → vérification → cartographie → synthèse.
II. CONTEXTE HISTORIQUE ET GÉOGRAPHIQUE
1️⃣ Présentation de la ville
Situation géographique, relief, hydrographie, croissance urbaine.
Rôle du port dans le développement des infrastructures.
2️⃣ Découpage chronologique proposé
Période précoloniale (avant 1884)
Période coloniale allemande (1884–1916)
Période coloniale française (1916–1960)
Période post-indépendance (1960–1990)
Période contemporaine (1990–aujourd’hui)
III. ÉVOLUTION DES INFRASTRUCTURES ROUTIÈRES ET PONTS PAR PÉRIODE
A. Période précoloniale
Pistes et sentiers reliant les chefferies duala, bonabéri, akwa, deido, bonapriso.
Circulation à pied, transport fluvial dominant.
Absence de routes planifiées : logique de pistes commerciales et de subsistance.
B. Période coloniale allemande (1884–1916)
Objectif : relier le port de Douala à l’arrière-pays (Nkongsamba, Edea, Buea).
Travaux :
Création des premières routes empierrées autour de Bonanjo et Akwa.
Construction du chemin de fer Douala–Nkongsamba.
Début des drainages pour maîtriser les zones marécageuses.
Pas de pont sur le Wouri : traversée par bac.
Projets de pont étudiés mais non réalisés avant la Première Guerre mondiale.
Acteurs : administration coloniale allemande, main-d’œuvre locale.
C. Période coloniale française (1916–1960)
Relance du port et développement urbain.
Premières routes asphaltées dans le centre-ville (Bonanjo, Akwa, Deido).
Grands travaux d’urbanisme : plans directeurs des années 1940–1950.
Construction du premier pont sur le Wouri (1950–1955) :
Maître d’ouvrage : Administration française (Plan FIDES).
Entreprise : Campenon Bernard.
Longueur : 1,8 km.
Type : pont mixte (route + rail).
Objectif : relier les deux rives et soutenir le trafic portuaire.
Début de l’expansion vers Bonabéri, Bassa, et New-Bell.
D. Période post-indépendance (1960–1990)
Urbanisation accélérée → nouveaux axes vers Bepanda, Logbaba, Makepe.
Grands chantiers :
Boulevard de la Liberté
Avenue du Général de Gaulle
Voies vers l’aéroport international
Route de la base Elf (Bonabéri).
Création de la Communauté urbaine de Douala (1977).
Début des conflits de compétence entre MINTP et autorités locales.
E. Période contemporaine (1990–aujourd’hui)
Réhabilitation du vieux pont du Wouri (années 1990).
Construction du deuxième pont sur le Wouri (2013–2017) :
Financement : État, AFD, BEI, UE.
Longueur : 750 m + 5 km de voies d’accès.
Objectif : désengorgement et modernisation.
Grands chantiers récents :
Pénétrante Est (Yassa–entrée Est)
Pénétrante Ouest (Bonabéri–port)
Contournement de Douala
Voies de Japoma et de la zone industrielle.
Acteurs : MINTP, Communauté urbaine, bailleurs, entreprises (Sogea-Satom, CGCOC, etc.).
IV. ANALYSE TRANSVERSALE DES ENJEUX
1️⃣ Dégradation rapide des routes
Problèmes techniques : mauvaise qualité des matériaux, absence de drainage, surcharge.
Problèmes institutionnels : entretien irrégulier, financements limités.
2️⃣ Gouvernance et conflits de compétences
Communes d’arrondissement vs Communauté urbaine vs MINTP.
Nécessité d’un cadre de coordination unique pour la planification et la maintenance.
3️⃣ Financement
Historique des modes de financement (État, partenaires, PPP).
Retard de paiement, corruption, absence d’entretien préventif.
4️⃣ Urbanisation non planifiée
Emprise des routes mal maîtrisée.
Difficultés d’expropriation.
Occupations anarchiques des emprises et drains.
Projet |
Période |
Acteurs principaux |
Enjeux / impact |
Boulevard de la Liberté |
1970–1980 |
Communauté urbaine, MINTP |
Axe structurant, image de modernité |
Premier Pont sur le Wouri |
1950–1955 |
Administration française |
Désenclavement, commerce |
Deuxième Pont sur le Wouri |
2013–2017 |
État, AFD, BEI |
Fluidité du trafic, modernisation |
Pénétrante Est |
2010–2020 |
MINTP, bailleurs |
Accès au port, désengorgement |
Contournement de Douala |
? |
MINTP |
Décongestion du centre-ville |
VI. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
Résumé de l’évolution historique.
Diagnostic général sur la gouvernance, la technique et le financement.
Recommandations :
Centralisation des données routières.
Entretien régulier planifié.
Coordination institutionnelle renforcée.
Sensibilisation à la conservation du patrimoine urbain.
VII. ANNEXES À PRÉVOIR
Cartes et plans anciens (1880, 1950, 1970, 2000).
Photos anciennes du port, des routes, des ponts.
Tableau chronologique des infrastructures clés.
Fiches descriptives par quartier (Akwa, Deido, Bonabéri, etc.).
PRINCIPALES ROUTES ET BOULEVARDS DE DOUALA
(par période historique)
1. Période coloniale allemande (1884–1916)
Les Allemands posent les premières bases du réseau routier urbain pour relier le port, les zones administratives et les quartiers de commerce.
Route / Boulevard |
Période / Date |
Contexte / Observations |
Route du Port (Bonanjo–rive gauche du Wouri) |
~1890–1900 |
Première voie aménagée pour relier le port allemand (rive gauche) aux entrepôts et bureaux du Gouvernement à Bonanjo. |
Piste Douala–Nkongsamba (future N5) |
Début 1900 |
Sert de base au tracé du chemin de fer Douala–Nkongsamba ; axe stratégique pour évacuer les produits agricoles. |
Pistes internes Bonanjo–Akwa–Deido |
1900–1914 |
Premiers tracés de rues à Bonanjo (ville européenne) et Akwa (ville indigène). Non asphaltées, empierrées à la main. |
Chemin Bonabéri–Mabanda |
1910–1914 |
Relie les plantations allemandes à la rive droite du Wouri. Traversée du fleuve par bac. |
🇫🇷 2. Période coloniale française (1916–1960)
Les Français structurent la ville moderne. On passe des pistes à de vraies routes urbaines.
Route / Boulevard |
Période / Date |
Contexte / Observations |
Avenue du Général de Gaulle (anciennement Rue du Commerce) |
1930–1950 |
Axe central entre Bonanjo et Akwa. Asphaltée dans les années 1950. |
Boulevard de la Liberté |
Années 1950 |
Conçu dans les plans d’urbanisme français comme la grande artère moderne reliant Bonanjo à Akwa et Deido. Asphalté avant l’indépendance. |
Route du Port / Base Elf (Bonabéri) |
Années 1950 |
Route industrielle reliant le port, les entrepôts et la zone ferroviaire. |
Premier Pont sur le Wouri |
1950–1955 |
Reliant Douala à Bonabéri (1,8 km). Travaux Campenon Bernard, Plan FIDES. |
Avenue du Docteur Jamot / Rue Joss |
Années 1950 |
Axes administratifs reliant Bonanjo au port et aux services coloniaux. |
🇨🇲 3. Période post-indépendance (1960–1990)
Douala devient une métropole en pleine expansion. Le réseau routier s’étend pour répondre à la croissance urbaine.
Route / Boulevard |
Période / Date |
Contexte / Observations |
Boulevard de la République |
Années 1960–1970 |
Axe économique majeur reliant la poste centrale, Akwa et la zone portuaire. |
Boulevard de la Liberté (extension et modernisation) |
1970–1980 |
Devenu le symbole du Douala moderne ; modernisé sous Ahidjo puis Biya. |
Route de l’Aéroport (Avenue Japoma–Yassa–Bonapriso) |
Années 1970–1980 |
Relie le centre à l’aéroport international de Douala. |
Route de Bépanda |
Années 1980 |
Axe vers la zone d’habitat populaire et universitaire (Makepe, Omnisports). |
Boulevard de Bassa (Nationale 3) |
Années 1980 |
Relie Akwa à la zone industrielle de Bassa. |
Avenue |
Années 1970–1980 |
Axe historique rénové reliant Deido à Akwa-Nord. |
Entrée Est (Nationale 3 – Yassa) |
Fin des années 1980 |
Préparation du trafic portuaire croissant. |
🏙️ 4. Période contemporaine (1990–aujourd’hui)
Modernisation, élargissement et construction de nouvelles pénétrantes pour désengorger la ville.
Route / Boulevard |
Période / Date |
Contexte / Observations |
Deuxième Pont sur le Wouri |
2013–2017 |
Financement AFD + BEI + UE. Relie Bonabéri et Bonassama à Akwa-Nord. |
Pénétrante Est (Yassa–PK14–Entrée Est) |
2010–2020 |
Financement Banque mondiale, désenclavement du port et aéroport. |
Pénétrante Ouest (Bonabéri–Port autonome) |
2015–2020 |
Travaux d’élargissement pour le trafic portuaire et industriel. |
Projet de contournement de Douala |
? |
Permet de relier Edéa à Limbé sans traverser la ville. |
Boulevard Urbain Est (Japoma–Ndogbong) |
2018–2023 |
Nouvelle voie moderne à 2x2 voies, avec échangeurs. |
Route Ndokotti–Makepe–Bonamoussadi |
Années 2000–2010 |
Axe urbain majeur vers les zones d’habitat denses. |
Route Deido–Akwa Nord–Bonamoussadi |
Années 2000 |
Prolongement du réseau nord-ouest. |
🌉 5. Les ponts majeurs de Douala
Pont |
Période |
Observation |
Pont du Wouri (vieux pont) |
1950–1955 |
Pont mixte route/rail de 1,8 km. Symbole du développement colonial tardif. |
Pont sur le Mbanya (Akwa-Nord) |
Années 1980 |
Permet l’accès industriel au port. |
Pont sur le Nkam (route vers Yabassi) |
Années 1970–1980 |
Axe régional vers le Nord. |
Deuxième Pont sur le Wouri |
2013–2017 |
Pont routier moderne à 2x3 voies. |
Petits ponts sur les drains (New-Bell, Bepanda, Bassa) |
Diverses périodes |
Nombreux ouvrages hydrauliques construits lors des extensions urbaines. |
🧭 Lecture synthétique : les axes structurants par époque
Époque |
Axes majeurs créés ou modernisés |
Allemande (1884–1916) |
Pistes portuaires, Douala–Nkongsamba, Bonanjo–Akwa |
Française (1916–1960) |
Boulevard de la Liberté, Av. de Gaulle, 1er pont du Wouri |
Post-indépendance (1960–1990) |
Boulevard de la République, Route de l’Aéroport, Bepanda, Bassa |
Contemporaine (1990–2025) |
Pénétrantes Est et Ouest, 2e pont du Wouri, Contournement, Japoma–Yassa |
Phase / Étape |
Objectifs |
Tâches concrètes |
Sources / lieux de collecte |
Responsable / collaborateur |
Calendr ier indicatif |
1. Préparation du travail |
Définir le cadre, les objectifs et les besoins documentaires |
- Finaliser la note d’orientation du projet - Définir les axes prioritaires (routes, ponts, quartiers) - Identifier les sources à consulter |
Documents internes Osidimbea Ébauche de ta collaboratrice |
RNN + Mme Yong |
Semaine 1 |
2. Collecte documentaire initiale |
Recueillir les documents historiques et techniques disponibles |
- Consulter les Archives nationales (Yaoundé) - Consulter les Archives municipales de Douala (CUD, Délégation MINTP) - Identifier les cartes anciennes (IGN, archives coloniales) - Collecter rapports AFD, BEI, PAD |
Archives, CUD, MINTP, AFD, PAD |
Mme Yong+ stagiaire |
Semaines 2–4 |
3. Inventaire des infrastructures historiques |
Établir la liste des routes et ponts construits par période |
- Période allemande : premières routes, rail Douala–Nkongsamba - Période française : premier pont du Wouri, routes Bonanjo–Akwa–Deido - Période post-indépendance : boulevard de la Liberté, aéroport, pénétrantes - Période contemporaine : deuxième pont, Yassa, Japoma, contournement |
Archives, rapports MINTP, études urbaines |
Équipe de recherche |
Semaines 3–6 |
4. Fiches descriptives par infrastructure |
Décrire chaque route/pont avec ses caractéristiques |
- Créer un modèle de fiche : nom, localisation, date, financement, objectif, acteurs, état actuel - Remplir les fiches à partir des sources |
Archives, presse, Google Earth, plans |
Mme Yong + stagiaires |
Semaines 5–8 |
5. Étude sur les causes de dégradation |
Comprendre pourquoi les routes se dégradent si vite |
- Analyser les rapports d’entretien du MINTP et de la CUD - Identifier les zones les plus touchées - Recueillir témoignages d’ingénieurs et riverains |
MINTP Douala, CUD, entreprises (Sogea, CGCOC) |
Mme Yong+ technicien TP |
Semaines 6–9 |
6. Gouvernance et conflits de compétence |
Clarifier les rôles et dysfonctionnements institutionnels |
- Analyser la répartition des compétences (lois de décentralisation, décret CUD) - Étudier cas concrets de conflit ou de chevauchement - Interview d’anciens maires, délégués ou ingénieurs |
CUD, MINTP, Ministère Décentralisation |
RNN |
Semaines 8–10 |
7. Études de cas emblématiques |
Documenter 4 à 5 grands chantiers routiers |
- 1. Pont du Wouri (1955) - 2. Boulevard de la Liberté - 3. Pénétrante Est - 4. Contournement de Douala - 5. Nouveau Pont du Wouri (2017) Pour chaque cas : contexte, acteurs, financement, effets. |
Archives, presse, AFD, BEI, PAD |
Mme Yong + stagiaire |
Semaines 9–12 |
8. Synthèse historique et cartographie |
Mettre en forme les résultats de la recherche |
- Rédiger la synthèse chronologique (5 périodes) - Créer la frise chronologique interactive - Produire des cartes avant/après par décennie |
Données collectées + outils SIG / Canva / PowerPoint |
Équipe graphique Osidimbea |
Semaines 12–14 |
9. Rédaction finale du rapport |
Produire le document final de référence |
- Rédiger le rapport final (30–40 pages) - Intégrer annexes, photos, cartes, chronologie - Validation interne Osidimbea |
Équipe rédactionnelle |
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Semaines 14–16 |
10. Mise en ligne Osidimbea |
Valoriser le travail sur osidimbea.cm |
- Créer une page “Infrastructures de Douala” - Intégrer les fiches dans la base de données Osidimbea - Lier les routes et ponts aux acteurs (MINTP, CUD, entreprises) |
Équipe technique Osidimbea |
|
Semaines 17–18 |