Marchés, gares routières, laveries-autos
Mais, à côté de ces marchés, émergence des supermarchés et autres Mall
I. Introduction générale
Rôle historique et symbolique des marchés à Douala
Expliquer comment les marchés ont toujours été les lieux d’échanges, de rencontres et d’intégration urbaine.
→ Souligner le lien entre commerce fluvial, routes, et développement des quartiers.
Évolution générale des espaces marchands
Du petit marché de village ou des comptoirs de traite (époque précoloniale et coloniale) aux grands marchés structurés modernes.
Les formes d’échanges avant la colonisation
Marchés traditionnels (lieux d’échange intercommunautaire : Duala, Bakoko, etc.)
Produits échangés (poissons, huile de palme, sel, produits agricoles, artisanat)
Rôle des chefferies et du fleuve comme axe de commerce.
Période coloniale (allemande, puis française)
Création des premiers marchés administrés (ex. marché central colonial)
Rôle des autorités municipales et de la planification urbaine
Naissance d’espaces marchands spécialisés : poissonneries, marchés de vivres, etc.
Période postcoloniale et urbanisation
Explosion démographique et essor des marchés de quartier
Décentralisation et apparition des marchés d’arrondissement
Émergence des marchés informels (trottoirs, carrefours, gares, etc.)
Présenter ici une cartographie ou typologie historique :
Les grands marchés urbains
Marché Central
Marché Mboppi
Marché Bonapriso / Akwa / Bonamoussadi / etc.
Pour chaque marché :
• Date de création
• Contexte de création (besoins, politiques, acteurs)
• Transformations majeures (extensions, incendies, réhabilitation, déplacement)
• Activités dominantes et évolution des produits vendus
• Organisation interne (secteurs, syndicats, taxes, gestion municipale)
Les marchés spécialisés
Marchés aux poissons (Youpwé, Bonassama, etc.)
Marchés de matériaux, véhicules, bétail, fleurs, artisanat…
Marchés nocturnes ou périodiques (hebdomadaires, saisonniers)
Les marchés périphériques et informels
Marchés spontanés dans les zones de forte croissance urbaine
Occupation de la voirie et tensions entre formel/informel
Rôle économique de ces marchés pour les ménages modestes
Création, réhabilitation et gestion des marchés
(Ville de Douala, Communes d’arrondissement, société civile)
Incendies, restructurations, réinstallations
(cas du marché Mboppi, Marché central, etc.)
Modernisation et numérisation
Marchés couverts, zones commerciales modernes
Introduction du e-commerce, rôle des plateformes locales
Problématiques actuelles : hygiène, sécurité, congestion, fiscalité, informalité
Création, réhabilitation et gestion des marchés
(Ville de Douala, Communes d’arrondissement, société civile)
Incendies, restructurations, réinstallations
(cas du marché Mboppi, Marché central, etc.)
Modernisation et numérisation
Marchés couverts, zones commerciales modernes
Introduction du e-commerce, rôle des plateformes locales
Problématiques actuelles : hygiène, sécurité, congestion, fiscalité, informalité
Le marché comme lieu d’expression de la diversité culturelle (langues, musiques, solidarités)
Rôle des femmes commerçantes et associations de vendeuses
Histoires et figures marquantes (ex. présidents d’associations, commerçants influents)
Représentation du marché dans la mémoire collective et les arts (peinture, musique, littérature)
Statistiques sur le nombre de marchés et de commerçants au fil du temps
Contribution des marchés à l’économie urbaine
Filières dominantes et circuits d’approvisionnement
Comparaison avec d’autres villes du Cameroun ou d’Afrique centrale
Archives municipales et coloniales
Témoignages oraux (anciens commerçants, chefs de marché, riverains)
Presse locale, photographies anciennes
Plans urbains et cartes de localisation
Données des communes d’arrondissement
Projets futurs de réhabilitation ou de création de marchés
Vers une mémoire patrimoniale des marchés de Douala :
→ Proposition d’un Espace Osidimbea des Marchés de Douala retraçant leur évolution, leurs acteurs, leurs transformations et leurs
archives photographiques.
Les marchés constituent depuis toujours l’un des piliers de la vie urbaine de Douala. Bien avant que la ville ne devienne la métropole économique du Cameroun, ils étaient déjà les lieux privilégiés d’échanges, de rencontres et de brassage culturel. Autour des quais du fleuve Wouri, sur les places publiques des anciens villages duala ou le long des pistes reliant les différents quartiers, se sont formés les premiers espaces marchands où circulaient les produits de la pêche, de la forêt et de l’agriculture. Ces marchés, à la fois lieux économiques et sociaux, ont accompagné chacune des étapes de la transformation de Douala : du port fluvial à la grande ville moderne.
Sous la colonisation allemande, puis française, l’activité commerciale de Douala s’est progressivement structurée. Les autorités coloniales ont introduit la notion de marché public organisé, avec des emplacements définis, une réglementation, et des taxes. Le « Marché central » de la période coloniale devient alors un repère autour duquel s’articulent de nouveaux axes commerciaux. Parallèlement, dans les quartiers autochtones et périphériques, se maintiennent des marchés de proximité, gérés selon les usages traditionnels et animés principalement par les femmes.
Au lendemain de l’indépendance, l’urbanisation rapide de la capitale économique entraîne une multiplication des marchés de quartier. Chaque nouvelle zone d’habitation cherche à se doter de son espace marchand : Bonabéri, New-Bell, Akwa, Bonamoussadi, Nylon ou encore Bépanda. Cette extension s’accompagne d’une diversification des produits, d’une croissance de la population commerçante et d’un développement des marchés spécialisés : marchés aux poissons, marchés de matériaux de construction, marchés de véhicules, marchés nocturnes, etc.
À mesure que Douala s’étend, la distinction entre marché formel et marché informel devient plus visible. Autour des grands pôles marchands comme Mboppi ou le Marché central, émergent des espaces spontanés où s’organise un commerce de survie : trottoirs, carrefours, gares routières. Ces marchés informels, bien qu’en marge de la planification municipale, jouent un rôle vital dans l’approvisionnement quotidien de la population et dans l’économie urbaine.
Aujourd’hui, les marchés de Douala reflètent à la fois la vitalité économique de la ville et les défis de sa gestion. Incendies récurrents, insalubrité, saturation, réaménagements et projets de modernisation rythment leur actualité. Les pouvoirs publics et les communes d’arrondissement tentent d’en rationaliser l’organisation à travers des programmes de réhabilitation et de sécurisation, tout en intégrant la dimension patrimoniale et mémorielle de ces lieux de vie.
Au-delà de leur fonction économique, les marchés demeurent des espaces de sociabilité et de culture. On y parle toutes les langues, on y échange les nouvelles, les idées et les saveurs. Chaque marché possède son histoire, ses figures emblématiques, ses transformations et ses drames. Ensemble, ils composent la trame vivante de Douala, celle d’une ville commerçante par essence, toujours en mouvement.
| Rubrique | Détails à remplir |
|---|---|
| 1. Identification générale | |
| Nom actuel du marché | |
| Autres noms historiques / populaires | |
| Arrondissement / Quartier | |
| Coordonnées géographiques (optionnel) | |
| Date de création / apparition | |
| Origine du nom | |
| 2. Contexte et fondation | |
| Conditions de création | |
| Acteurs impliqués | |
| Premiers commerçants et populations présentes | |
| Produits initialement échangés | |
| 3. Évolution historique | |
| Période coloniale (organisation, réglementation, transformations) | |
| Période post-indépendance (extension, nouvelles filières) | |
| Périodes récentes (réhabilitation, modernisation, incidents) | |
| 4. Typologie et organisation | |
| Type de marché (central, quartier, spécialisé, périodique, informel) | |
| Secteurs internes / divisions | |
| Nombre approximatif de commerçants / étals | |
| Mode de gestion | |
| Tarification / droits de place | |
| 5. Vie sociale et culturelle | |
| Rôle dans la communauté | |
| Figures marquantes | |
| Événements notables | |
| Traditions et pratiques locales | |
| 6. Données économiques | |
| Principaux produits échangés aujourd’hui | |
| Volume et importance économique approximatifs | |
| Sources d’approvisionnement / filières | |
| Impact sur le quartier / la ville | |
| 7. Patrimoine et mémoire | |
| Photographies ou cartes anciennes disponibles | |
| Archives et documents existants | |
| Rôle dans la mémoire collective | |
| Éléments à conserver pour Osidimbea | |
| 8. Observations et perspectives | |
| Problématiques actuelles | |
| Projets de modernisation ou réhabilitation | |
| Suggestions pour enrichir la mémoire historique |
| Arrondissement | Marché |
| Douala 1 | Marché de New-Deido |
| Marché Sandaga | |
| Marché des Fleurs | |
| Petit marché de Deido | |
| Marché Bonamouang | |
| Douala 2 | Marché Central ou Lagos |
| Marché Nkololoun | |
| Marché des poissons de Youpwé | |
| Marché Congo | |
| Douala 3 | Marché de Madagascar |
| Marché Dacat Ndokoti | |
| Carrefour Ndokoti | |
| Marché de PK 14 | |
| Marché de Ndogpassi | |
| Marché de Yassa | |
| Douala 4 | Marché de Bonassama |
| Marché de Grand Hangar | |
| Petit marché (Baobab) | |
| Douala 5 | Marché de Bonamoussadi |
| Marché de la Cité-Sic | |
| Marché Bépanda Double balle | |
| Douala 6 | |
| Arrondissement | Marché |
| Douala 1 | |
| Douala 2 | |
| Douala 3 | |
| Douala 4 | |
| Gare routière de Bonabéri | |
| Douala 5 | |
| Douala 6 | |
Ce document a pour objet de définir, de manière exhaustive, le cadre, les objectifs et les livrables attendus pour la mission de recensement et de collecte d'informations sur les espaces marchands (marchés, petits commerces formels/informels sous tutelle), les gares routières et les laveries gérés par la Ville de Douala et les communes d'arrondissement.
La mission vise à :
Identifier et localiser de manière exhaustive l'ensemble des espaces marchands, des gares routières et des laveries publics gérés par la Mairie de Douala ou ses Communes d'Arrondissement.
Collecter des données factuelles et historiques pertinentes sur chacun de ces espaces pour constituer une base de données numérique complète.
Fournir à Osidimbea ces informations structurées dans un format numérique exploitable pour des fins d'analyse, de planification et d'archivage.
Le recensement couvre l'intégralité du territoire de la Ville de Douala, incluant les équipements gérés par :
La Communauté Urbaine de Douala (CUD) / Mairie de Douala.
Les cinq (5) Communes d'Arrondissement (Douala I, II, III, IV, V, VI).
Types d'Espaces à Recenser :
| Catégorie | Exemples (non exhaustifs) |
| Espaces Marchands | Marchés publics, lieux d'échange sous gestion municipale (même informels), hangars commerciaux municipaux. |
| Gares Routières | Gares routières interurbaines et éventuellement urbaines (grands arrêts) gérées par la municipalité. |
| Laveries | Laveries publiques/municipales (si existantes et gérées par la municipalité ou ses services). |
Pour chaque espace recensé, les informations suivantes devront impérativement être collectées :
Nom officiel de l'espace (ex: Marché de Bonamoussadi, Gare routière de...).
Type d'Espace (Marché, Gare Routière, Laverie, autre).
Commune d'Arrondissement d'appartenance.
Localisation précise : Quartier, indication de la rue/voie principale.
Coordonnées GPS (Latitude et Longitude) : Essentiel pour la cartographie.
Date de Création/Naissance (ou date d'entrée en fonction/gestion par la municipalité).
Autorité de Tutelle/Appartenance : CUD ou Commune d'Arrondissement (préciser laquelle).
Statut Juridique/Fonctionnel (ex: Marché Principal, Annexe, en Projet, Fermé).
Dirigeants / Responsables Actuels : Nom, fonction, contacts (si information publique et accessible).
Mode de Gestion : Régie directe, affermage, concession, comité de gestion, etc.
Organisation des Usagers : Existence d'associations de commerçants/syndicats de transporteurs (nom, contact si possible).
Nombre estimé d'exploitants/boutiques/places (si quantifiable).
Évolution des Tarifs / Droits de place / Redevances : Recueil des tarifs actuels et si possible de l'historique récent (ex: 2020, 2023, 2025).
Principales Sources de Revenus pour la municipalité (droits de place, loyers, taxes).
Principales Difficultés rencontrées (Insécurité, salubrité, infrastructures, concurrence, etc.).
Projets d'Aménagement/Extension en cours ou planifiés par la CUD/Commune.
La personne chargée de la mission devra remettre à Osidimbea les livrables suivants :
Toutes les informations collectées devront être structurées dans un format numérique standard, idéalement un fichier tableur (Excel ou CSV), où :
Chaque ligne représente un espace recensé (un marché, une gare, une laverie).
Chaque colonne correspond à un champ d'information (ex: Nom officiel, Coordonnées GPS, Date de Création, Dirigeants, etc.).
Le tableau devra être clair, sans ambiguïté et utiliser des codes normalisés (ex: pour la commune : DLA1, DLA2...).
Un rapport synthétique (Word ou PDF) incluant :
La méthodologie de collecte (sources consultées, personnes rencontrées).
Un bilan quantitatif (nombre total d'espaces recensés par catégorie et par commune).
Une analyse sommaire des principaux défis et projets (synthèse du point 3.5).
La liste des sources et des contacts clés rencontrés.
Afin d'assurer le bon déroulement de la mission, l'entité/personne chargée du recensement s'engage à respecter les obligations de reporting suivantes auprès du commanditaire (Osidimbea) :
Objet : Validation de la méthodologie de travail détaillée (itinéraire, outils, personnes clés à rencontrer) et du calendrier prévisionnel.
Délai : Au plus tard 5 jours calendaires après la notification de la commande/du contrat.
Objet : Faire le point sur l'état d'avancement du recensement sur le terrain.
Contenu Minimum :
Liste des espaces visités et recensés (par catégorie et par commune).
Pourcentage d'achèvement estimé de la mission.
Difficultés rencontrées (accès aux sites, manque d'informations, etc.) et actions correctives proposées.
Fréquence : Tous les vendredis en fin de journée de travail, ou tout autre jour convenu avec le commanditaire.
Objet : Présenter un bilan consolidé des informations collectées pour la première moitié du délai imparti.
Contenu : Ébauche de la base de données numérique (BDD) avec les données déjà saisies et un état d'avancement détaillé par commune d'arrondissement.
Délai : À [À PRÉCISER : Ex: 30 jours] après la réunion de lancement. Une réunion physique (ou virtuelle) de restitution sera organisée à cette occasion.
Objet : Présentation des livrables complets (Base de Données et Rapport de Mission) avant la remise finale pour permettre au commanditaire de soumettre ses éventuelles observations.
Délai : 5 jours calendaires avant l'échéance finale de la mission.
Le délai maximal pour l'exécution complète de la mission et la remise des livrables (Base de Données + Rapport) est fixé à [ À PRÉCISER : Ex: 60 jours calendaires ] à compter de la date de signature du contrat/ordre de service.
Voici quelques suggestions pour enrichir la mission :
Photos Numériques : Exiger l'inclusion d'au moins une (1) photo numérique de bonne qualité pour chaque espace recensé. Les photos permettent une vérification visuelle et enrichissent la base de données.
Sources Documentaires : Demander la collecte de copies numériques (scannées en PDF) de documents clés (arrêtés de création, règlements intérieurs, grilles tarifaires officielles) si elles sont disponibles, pour appuyer les données collectées.
Validation Terrain : Insister sur la nécessité d'une validation physique sur le terrain pour obtenir les coordonnées GPS et s'assurer de l'existence et du statut opérationnel de l'espace.
Outil de Collecte : Suggérer l'utilisation d'un outil de collecte de données mobile (comme KoboToolbox, ODK ou Google Forms) pour standardiser la saisie des informations et faciliter l'intégration des coordonnées GPS et des photos.
Évaluation des Besoins : Si le temps le permet, inclure une petite évaluation des besoins urgents de réhabilitation/sécurité pour la CUD (ex: Besoin en éclairage, en sécurité, en évacuation des ordures).
Cette méthode est la plus équilibrée pour un projet de collecte de données avec un budget contraint, car elle lie la rémunération à la performance et couvre les coûts opérationnels de l'exécutant.
Vous convenez d'un montant forfaitaire unique pour l'intégralité de la mission (incluant l'identification, la collecte, l'analyse, et la production des livrables finaux : BDD + Rapport).
| Étape | Pourcentage du Forfait | Condition de Paiement | Rôle du Paiement |
| Acompte (Optionnel) | 10% à 20% | À la signature du contrat et validation de la méthodologie (pour démarrer). | Aide au démarrage initial. |
| Mi-parcours | 30% à 40% | Après la validation du Rapport d'Étape à Mi-Parcours (Section 4 bis. 3). | Assure la continuité et valide la méthodologie. |
| Paiement Final | Le Solde (40% à 60%) | Après la validation définitive et l'acceptation des livrables (BDD et Rapport). | Garantie que le travail est complet et de qualité. |
Ces frais sont obligatoires pour la mission, en particulier à Douala où les distances sont importantes.
| Type de Frais | Recommandation pour budget modeste | Détails |
| Transport | Recommandé (Paiement au forfait ou remboursement). | Déplacements dans les 6 communes d'arrondissement (moto-taxi, taxi). Vous pouvez fixer un forfait journalier de transport sur présentation d'un état récapitulatif. |
| Communication / Internet | Recommandé (Forfait mensuel ou à la fin). | Nécessaire pour les appels aux contacts (Communes, responsables de marchés) et l'envoi des rapports hebdomadaires et de la BDD. |
| Petits frais divers | Forfait journalier minimal (Ex: 1000 FCFA/jour de travail). | Pour les petites photocopies, l'achat d'eau, ou l'accès ponctuel aux services (ex: cybercafé si coupure internet). |
| Avantage pour Vous (Osidimbea) | Avantage pour l'Exécutant |
| Maîtrise du budget : Le coût total est connu d'avance. | Sécurité financière : Les frais opérationnels (transport, communication) sont couverts, réduisant son risque. |
| Incentive à la performance : Le paiement est lié à la qualité et à la livraison finale. | Cash-flow : Obtient un paiement à mi-parcours, ce qui finance la suite du travail. |
| Suivi facile : Les paiements échelonnés se synchronisent parfaitement avec vos exigences de reporting (Section 4 bis). | Autonomie : Peut organiser son temps de travail (pas un salariat). |
Puisque vous avez des moyens limités, la clé est de trouver un profil adapté à ce niveau de rémunération : un jeune diplômé en géographie, sociologie, statistique, ou un étudiant de niveau master qui cherche une première expérience de terrain.
Estimez le temps de travail : Si vous donnez 60 jours, combien de jours seront réellement consacrés au terrain et à la saisie? (Ex: 40 jours de terrain + 10 jours de compilation/rédaction).
Calculez le coût journalier acceptable : Multipliez le nombre de jours par un taux journalier honnête pour un jeune professionnel (ce taux sera probablement inférieur à ce que demanderait une agence de consulting, mais doit rester motivant pour un travail de qualité).
Exemple (à titre indicatif et à vérifier localement) : Taux journalier de 5 000 FCFA à 7 500 FCFA pour un jeune = 40 jours x 5 000 FCFA ≈ 200 000 FCFA de forfait.
Calculez le coût des frais remboursables :
Forfait Transport/Jour : 1 500 FCFA (selon les zones).
Forfait Communication/Mois : 10 000 FCFA.
Total frais : (40 jours x 1 500 FCFA) + (2 mois x 10 000 FCFA) = 60 000 FCFA + 20 000 FCFA = 90 000 FCFA.
Présentez le Budget Total : Forfait de la mission (200 000 FCFA) + Frais plafonnés (Ex: 90 000 FCFA) = 290 000 FCFA.
